Photo: Lisa Clifford/IRIN |
Dusaba Mbomoya, professeur de géographie, avec ses élèves, à l’école primaire de Mashango |
« Lorsqu’il pleut, nous autorisons les élèves à rentrer chez eux », a expliqué Mme Mbomoya. Ceux qui veulent rester à l’école le temps que la pluie cesse de tomber se réfugient parfois dans les latrines, construites récemment par un organisme international.
La situation déplorable de Mashango se reflète dans d’autres écoles des quatre coins de la RDC. Elle est la conséquence de la guerre, mais aussi du manque chronique de fonds accordés au système éducatif – à peine huit pour cent du budget national annuel est alloué à l’éducation, selon la Banque mondiale. Mashango n’a ni eau, ni électricité, et ne dispose que de quelques livres. La plupart de ses salles de classe sont obscures et tombent en ruines, et le matériel d’enseignement y est limité [pour lire la suite].
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