vendredi 7 septembre 2012

Yamina Benguigui : « Le sommet de la Francophonie n’est pas un sommet bilatéral »

Le 27 août, François Hollande a annoncé sa participation au 14e sommet de la Francophonie en République Démocratique du Congo (RDC), du 12 au 14 octobre.
La ministre de la Francophonie, cheville ouvrière de cette décision, explique à « La Croix » les raisons de ce choix.
La Croix :  La France se rendra au sommet de la Francophonie à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC). Quel rôle avez-vous joué dans cette décision ?
Yamina Benguigui :  L’Organisation internationale de la francophonie (OIF) avait annoncé ce sommet en 2008 et lancé à Kinshasa la construction des infrastructures nécessaires pour l’accueil du sommet. Mais aucun membre de l’ancien gouvernement ne s’était rendu sur place quand j’ai repris le dossier au mois de mai, dès ma nomination. Il y avait une contestation en France et en Belgique contre la tenue de ce sommet en RDC. Le président de la République m’a demandé de me rendre en RDC pour évaluer la situation dans son ensemble et pour y rencontrer les représentants de l’ensemble de la société congolaise, depuis les autorités, jusqu’aux opposants [lire la suite].
Propos recueillis par Laurent Larcher
© La Croix

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